« Parfois on regarde les choses,
Telles qu’elles sont
En se demandant pourquoi
Parfois, on les regarde
Telles qu’elles pourraient être
En se disant pourquoi pas »

Vanessa Paradis / Gaëtan Roussel

A plusieurs reprises, cette chanson m’a fait changer de posture, aborder la situation qui me préoccupait avec plus de hauteur.

Combien de fois, me suis-je demander « Mais pourquoi ? Pourquoi ça m’arrive ? Pourquoi ça se passe comme ça ? »

Tantôt en mode bureau des pleurs, tantôt en colère, tantôt en mode « Sortez la caméra, c’est une blague ! »

Je me souviens d’une fois où je descendais la rue de Maubeuge avec mon chien en direction de l’agence, écouteurs dans les oreilles. Ce « Pourquoi pas » résonne encore.

Dans la matinée, avec mon équipe, ce « pourquoi pas ? » s’est invité. Il nous a permis de regarder le projet sur lequel nous ramions depuis des jours, avec un autre angle de vue. Bingo ! Liesse générale !

Pourquoi pas ? Pourquoi pas ?

Quelle manière incroyable de désamorcer, d’ouvrir les champs, d’ouvrir les bras à l’autre.

Je l’ai expérimenté encore hier soir. « Et finalement pourquoi pas ? Essayons-nous verrons bien. »

Il sera toujours temps de faire comment avant, si d’aventure ça ne marchait pas !

C’est comme si ce « Pourquoi pas ? » calmait les egos et l’envie d’avoir raison à tout prix.

En entreprise, il autorise la prise d’initiatives, il ouvre au droit d’essayer, quitte à se tromper, il valorise, il incarne l’audace et donne envie. Il témoigne de la confiance.

Pas besoin de long discours parfois pour générer motivation et implication. Deux mots peuvent suffire. Alors pourquoi pas ?

Ça, c’est posé.

© Vanessa Paradis / © Gaëtan Roussel

Titre : Il y a
©Vanessa Paradis /©Gaëtan Roussel